Nous avions parlé de la start up Wever au tournant des années 2015/2016 quand elle est sortie de terre dans le sud de la France et qu’elle annonçait vouloir s’occuper des mobilités d’avenir au travers de protocoles et de systèmes novateurs afin d’être efficace, d’optimiser les besoins et les coûts.
Au fil des ans, Wever s’est développée pour devenir une plateforme qui se propose de réinventer une mobilité performante en plaçant l’utilisateur et les besoins qu’il exprime au centre d’un projet ou d’une offre. C’est un vaste programme et il n’est pas toujours évident à matérialiser puis à mettre en place, que ce soit dans une entreprise ou pour une collectivité locale.
Wever se la joue volontariste et dans l’air du temps. Pour cela l’entreprise des Alpes Maritimes, propose désormais trois moyens de faire bouger les lignes pour ceux qui adhèrent au programme de Wever ou au principe d’une mobilité « douce » et adaptée. Il s »agit de :
Le sondage ou l’enquête d’opinion au coeur du système
Pour proposer aux acteurs de cette mobilité urbaine et d’avenir un projet cohérent et en phase avec des impératifs locaux ou d’entreprise, Wever se propose de réaliser des « Super-Sondages de la mobilité pour aller vers un système participatif ». Ainsi, en donnant la parole aux individus, Wever veut placer l’utilisateur et ses besoins au centre du dispositif pour qu’il qu’il s’exprime sur la laconception de l’offre de mobilité douce que le prestataire proposera.
A l’opposé de beaucoup qui viennent avec des systèmes et des moyens « tout prêts » définis en bureau, l’entreprise azuréenne prend en compte les demandes réelles, les conditions et les moyens de déplacements déjà installés ce qui permet de proposer une mobilité optimisée et au plus près des besoins des personnes et des sociétés.
Pour agirn il ya donc une plateforme numérique sur laquelle Wever récolte les volontés et les retours de terrain des usagers. L’entreprise analyse ensuite les données et, après travail d’étude et d’analyse elle peut alors proposer des solutions de mobilité en reprenant l’existant ou en proposant de nouvelles solutions qui prennent en compte les spécificités du territoire.
A travers ces sondages,Wever, espère que les individus deviendront acteur de leur propre mobilité.
Si l’idée est intéressante par rapport aux idées et principes vendus souvent à l’identique quels que soient le lieu et les conditions de déplacement locales, cela reste toujours très difficile à installer durablement pour des raisons individuelles, économiques, budgétaires ou même géographiques.
Pour avancer dans son principe, Wever travaille avec des algorithmes qui permettent de modéliser et de créer des solutions quasiment sur mesure qui répondent aux besoins des personnes , des collectivités ou des entreprises. Outre les déplacement, la société niçoise peut aussi proposer du co-working, de la gestion du télétravail ou la mise à disposition de petits véhicules électriques comme des vélos à assistance électrique ou même des trottinettes sur batterie.
L’objectif final est d’obtenir l’adhésion maximale de la part des personnes sondées mais aussi de la part des acteurs locaux ou entreprenariaux qui se sont impliqués dans le projet.
Il reste à voir si ce principe et viable sur le long terme et surtout si les clients sont réellement là, ce qui n’est pas forcément évident.
A suivre.
Via AP.
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