Ce jour, Luc Le Gleuher nous donne rendez vous dans un bel endroit puisqu’il s’agit du Chateau de Crèvecoeur-en-Auge, une très belle seigneurie rurale du XVeme siècle situé entre Caen et Lisieux qui abrite la Fondation Musée Schlumberger où l’on pourra découvrir la vie, l’histoire et le travail des ingénieurs Conrad et Marcel Schlumberger qui ont révolutionné la prospection pétrolière au début du XXeme siècle.
Même si le pétrole est nécessaire pour faire fonctionner les moteurs des voitures thermiques, Luc va nous parler ce jours des 3 premières générations de la Mercedes-Benz SL pour Sport Leicht (ou sport léger en allemand), un modèle dont les origines remontent à 1952 avec la 300 SL, un prestigieux modèle qui s’est illustré en compétition, en remportant de très nombreuses courses dans le monde et notamment la fameuse Panamericana qui fera beaucoup pour la notoriété du modèle dès son début de carrière puis au fil des décennies.
SL comme Superbe Ligne
Si la 300 SL (W198) est absente de la présentation du jour, on retrouve avec plaisir une 190 SL (W121 B2) de la période 1955-1963, une 280 SL (W113) de la période 1963-1971 et une 280 SL (R107), celle de Jessica et Jonathan Hart dans l’Amour du risque qui a existé entre 1971 et 1989.
Ici, la présentation se fait notamment en présence d’Arnaud Halley qui est le vice-président du Club Mercedes-Benz France et de Gérard Halley, le président de la section Calvados du Club précédemment cité.
190 SL, 280 SL « Pagode » et 280 SL sont au programme de cette émission. A vous de faire votre choix parmi ces trois grands classiques de la collection automobile. Trois stuttargoises qui ne marque ni de charme,ni de prestance ou d’élégance sont présentées ici.
Pour nous et même pour moi, le choix est fait et bien fait, mon coeur balance pour la SL en version W113, la fameuse « Pagode » (à cause du dessin de son hard top) dessinée par le grand designer français Paul Bracq qui a notamment oeuvré pour les marques Mercedes-Benz, BMW ou Peugeot mais aussi Brissonneau et Lotz ou Alstom (design du TGV 001).
Un cabriolet toujours élégant, fin mais aussi racé dans son style qui séduit toujours, 60 ans après sa présentation.
Assez baverdé, il est venu le moment de passer de la lecture à l’image avec Luc Le Gleuher au micro.
Via Station 70, Tevi TV, YouTube.